Dans le cadre de la démarche qualité de sa certification, la Clinique Esthétique Saint-Aubin met l'accent sur l'information du patient. Elle met à sa disposition des articles détaillés sur les thèmes principaux de la chirurgie esthétique pour expliquer en images chaque intervention. Aujourd'hui, la chirurgie intime de la femme, et plus particulièrement la correction des cicatrices périnéales et vulvaires, ainsi que la vaginoplastie.
L’accouchement, un véritable miracle de la vie qui se produit chaque jour. Un miracle oui, mais qui peut avoir des conséquences parfois désagréables. En effet, les cicatrices du périnée et de la vulve sont fréquentes après un accouchement. L’orifice vaginal et les muscles du périnée peuvent également être abîmés. La solution ? La chirurgie intime.
Les cicatrices périnéales et vulvaires, un problème fréquent qui a une solution
A la suite d’un accouchement, une déchirure accidentelle, lors d’une expulsion trop rapide ou bien à l’incision nommée épisiotomie, peut être constatée. Ses conséquences ? Des cicatrices périnéales et vulvaires, ce qui peut même engendrer des douleurs lors de rapports intimes. C’est là que la chirurgie intime de la femme fait son entrée. L’intervention consiste à reprendre ces cicatrices de la manière la plus esthétique et la plus anatomique possible pour limiter les inconvénients. L’opération peut aisément se faire en ambulatoire (la patiente rentre chez elle le jour même) et l’anesthésie dépendra de l’importance des cicatrices, de leur place et de l’importance des structures anatomiques abîmées.
La vaginoplastie, qu’est-ce que c’est ?
Un accouchement peut parfois abîmer l’orifice vaginal et les muscles du périnée, peu importe les mensurations de l’enfant. Résultat : un élargissement de l’orifice vulvaire, entrainant ainsi une perte de contact en cas de rapport sexuel. Il est possible d’y remédier. Pour ce faire, le chirurgien aura recours à la vaginoplastie, ou à la lipoplastie vaginale. Il s’agit de rétrécir le canal vaginal sur toute sa profondeur. Dans le cadre d’une telle opération, il faut agir sur toutes les structures de la paroi postérieure du vagin et réparer les éléments anatomiques. Le chirurgien prélève de la graisse sur la patiente (généralement dans le ventre, le haut des cuisses ou dans une partie externe de la fesse). Cette graisse est ensuite traitée (filtrée et centrifugée) avant d’être réinjectée dans la paroi vaginale. Une technique pouvant être réalisée en ambulatoire et sous anesthésie générale ou loco-régionale.
Force est de le constater, des solutions existent grâce à la chirurgie intime de la femme. Et si, parfois, ces solutions ne sont pas la perfection incarnée, elles permettent tout de même de corriger des problèmes qui peuvent vite devenir pesants. Reste maintenant aux patientes d’oser en parler à leur médecin dans le cadre d’une consultation et d’envisager les différentes possibilités qui s’offrent à elles.
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